Le Royal Cercle Dramatique Ploegsteertois

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Le Royal Cercle Dramatique Ploegsteertois propose sa nouvelle pièce «un jumelage inoubliable». Un pur moment de rire!

Dès que le printemps arrive, les Ploegsteertois (et autres! ) s’impatientent de découvrir la nouvelle saga du Cercle Dramatique. Fin mars, le rideau va s’ouvrir sur sa création pour huit représentations de «Un jumelage inoubliable». Il s’agit d’une comédie en deux actes d’Yvon Taburet; la troupe a d’ailleurs déjà interprété plusieurs de ses pièces.

Neuf comédiens, quatre nouveaux

Cet opus présente plusieurs atouts: celui de bien faire rire le public (c’est essentiel!) et de laisser une certaine liberté dans la création. Sans dévoiler l’intrigue (surprenante), c’est l’histoire d’un village métropolitain de Bizouillis-les-Oies à qui est proposé un jumelage avec Monicelli, une charmante petite localité de l’île de beauté. Tout le monde se réjouit de cette union. Mais…

La mise en scène et l’adaptation ont été confiées à un binôme qui a déjà fait ses preuves: Matthieu Braem et Alain Degroux. Pour faire vivre cette histoire villageoise, les comédiens seront au nombre de neuf à fouler les planches: Pierre Maes, Dorothée Lamoot, Annie Bauw, Frédéric Delion, Sylvie Verbeke, Anthony Debailleul, Christophe Sanctorum, Christine Milleville et Sophie Vercruysse.

Parmi les protagonistes, quatre d’entre eux foulent pour la première fois les planches de Ploegsteert. Anthony Debailleul, de retour à Ploegsteert après ses études: «Depuis mes 10 ans, je venais voir les pièces et cela me donnait l’envie d’en être. J’avais joué avec les rhétos à Saint-Henri et cela m’avait bien plu. Pour la première fois que je joue ici mon rôle me convient bien.»

Christophe Sanctorum vient de Bailleul: «J’ai joué dans le dernier Plugstreet. Pour moi c’est aussi une première. Il faut bien se mettre dans la peau du personnage: un berger corse».

Sylvie Verbeke a été la souffleuse à deux reprises: «Je n’ai pas refusé la proposition. C’est toujours gai de monter sur scène même si on est souvent pris par le temps. Il y a toujours le miracle du public».
E.D l'avenir